Triomphe ou échec choisis

Dans la guerre, il n'y a pas de victoire parfaite, car même ceux qui ont gagné ont aussi beaucoup perdu.

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M. David Ben Horin

Posté sur 17.11.22

Dans la guerre, il n’y a pas de victoire parfaite, car même ceux qui ont gagné ont aussi beaucoup perdu. Pensez à deux divisions opposées lorsque l’un des pays lève un drapeau blanc en signe de défaite, celui-ci a-t-il vraiment perdu et l’autre a-t-il gagné ? Qu’arrive-t-il à tous les morts ? Qu’en est-il de toutes les familles qui ont perdu des êtres chers ? Une perte de vie humaine ne peut jamais être considérée comme une victoire, même si celle qui est devant agite un drapeau blanc. Au contraire, il se peut qu’il se soit rendu compte que rien de bon n’en est ressorti et qu’il ait décidé d’abandonner. Dans tous les cas, abandonner ne signifie pas “échec”.

Il est vrai que nous ne combattons pas vraiment comme dans une vraie guerre, mais blesser une personne, diffamer sa réputation, insulter et tourmenter quelqu’un est exactement une guerre personnelle et ce n’est pas très différent d’une guerre sur le champ de bataille. Parce que tuer l’âme n’est pas moins que tuer une personne physiquement. Ces deux choses sont considérées comme un bain de sang.

Souvent, nous entrons dans des discussions inutiles, des intrigues, des menaces, nous dégainons des armes et puis, en regardant en arrière, nous découvrons à quel point nous avons été stupides et surtout nous sommes déçus de nous-mêmes, pas seulement à cause du bas niveau auquel nous sommes descendus mais aussi, et surtout, parce qu’on se rend compte qu’il aurait mieux valu abandonner.

Ce n’est pas en vain que nos Sages de mémoire bénie ont dit que “la fin d’un acte réside dans la première pensée”. Nos pulsions internes et nos instincts bestiaux nous égarent trop souvent, mais si nous nous arrêtons un instant, observons, réfléchissons et prenons du recul , nos réactions seront sans doute plus maîtrisées et donc probablement beaucoup plus mesurées et calculées.

Quand on se retrouve dans une situation où il y a de la colère, on se permet de souffler et de tirer des mots comme des flèches empoisonnées, et à ce moment-là on ressent un certain soulagement « Fu…. on libère un peu de ce qui nous pesait sur le cœur… », mais très vite on comprend le truc, car après s’être calmé, on réalise soudain à quel point on a été bête et quelle erreur fatale on a commise, et on se rend compte qu’un mot déjà dit ne peut pas être annulé. Un mot blesse, cicatrise, blesse, assombrit et souvent sépare aussi. mondes séparés. amis des familles.

Se rendre est un mot important qui nous fait beaucoup de bien. Il pointe vers la paix, la réconciliation, la compassion, la miséricorde, l’amour du prochain comme soi-même.

Celui qui renonce ne perd jamais et ces choses sont connues. Bien qu’il semble parfois que le renoncement était stupide ou inutile et parfois même excessif, pour le Créateur du monde, le degré de renonciation est un degré noble, propre et honorable. Le Saint, Béni soit-Il, qui voit tout, sait sûrement à quel point il vous a été difficile d’abandonner, et pourtant vous avez choisi le bon et le droit chemin et Il vous récompensera comme vous le méritez.

Et tous les morts ? Qu’en est-il de toutes les familles qui ont perdu des êtres chers ? Une perte de vie humaine ne peut jamais être considérée comme une victoire…

Ce n’est pas en vain que nos Sages de mémoire bénie ont dit que “. Nos pulsions intérieures et nos instincts animaux nous égarent souvent et nous égarent, mais si nous nous arrêtons un instant, observons, réfléchissons et nous détendons, nos réactions seront.

sans doute plus maîtrisées et donc probablement beaucoup plus mesurées et calculées.

Quand on se retrouve dans une situation où il y a de la colère, on se permet de souffler et de tirer des mots comme des flèches empoisonnées, et à ce moment-là on ressent un certain soulagement « Fu…. on libère un peu de ce qui nous pesait sur le cœur… », mais très vite on comprend le truc, car après s’être calmé, on réalise soudain à quel point on a été bête et quelle erreur fatale on a commise, et on se rend compte qu’un mot déjà dit ne peut pas être annulé. Un mot blesse, cicatrise, blesse, assombrit et souvent sépare aussi. mondes séparés. amis des familles.

Se rendre est un mot important qui nous fait beaucoup de bien. Il pointe vers la paix, la réconciliation, la compassion, la miséricorde, l’amour du prochain comme soi-même. Celui qui renonce ne perd jamais et ces choses sont connues. Bien qu’il semble parfois que le renoncement était stupide ou inutile et parfois même excessif, pour le Créateur du monde, le degré de renonciation est un degré noble, propre et honorable. Le Saint, Béni soit-Il, qui voit tout, sait sûrement à quel point il vous a été difficile d’abandonner, et pourtant vous avez choisi le bon et le droit chemin et Il vous récompensera comme vous le méritez.

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