Binyamin Netanyahu confronté aux failles de la justice humaine

Les gardiens de la justice humaine ont utilisé leur pouvoir pour persécuter le leader de la nation qui a introduit la justice dans le monde. Le mandat d’arrêt émis contre notre Premier ministre Binyamin Netanyahu pour avoir mené une guerre contre les nazis prouve l’illusion des lois humaines.

Règne sur nous, Toi seul, ô Seigneur, avec bonté et compassion, avec justice et droiture. Béni sois-Tu, Seigneur, Roi qui aime la droiture et la justice.
— Prière de la Amida

Une justice biaisée

Le CPI (Cour pénale internationale) a-t-il émis des mandats d’arrêt contre l’Ayatollah d’Iran ou son président ? Qu’en est-il du président syrien Bashar al-Assad, responsable d’une guerre ayant tué plus d’un demi-million de ses propres citoyens, y compris par des armes chimiques ? Et Recep Tayyip Erdoğan, leader turc ayant causé la mort de milliers de Kurdes innocents ?

Aucune nation n’a maintenu des standards aussi élevés de conduite honorable en temps de guerre que les Forces de défense israéliennes (Tsahal). Dans la bande de Gaza, l’un des territoires les plus densément peuplés au monde, le ratio de décès civils par rapport aux terroristes tués est resté inférieur à celui des deux guerres mondiales.
Les Alliés, durant la Seconde Guerre mondiale, n’ont jamais largué de nourriture ou de médicaments pour les civils allemands ou japonais. Jamais une armée n’a averti les civils ennemis par tracts ou messages téléphoniques avant une attaque. Israël l’a fait.

Malgré cela, ni l’ONU ni le CPI n’ont jamais poursuivi les dirigeants du Hamas, qui mettent en danger leurs propres populations civiles pour servir leurs intérêts médiatiques.

La mission déclarée du CPI

Selon sa mission, la Cour pénale internationale enquête et juge les individus responsables des crimes les plus graves, comme le génocide et les crimes contre l’humanité. Pourtant, la population de Gaza a augmenté de plus de 45 000 personnes depuis le 7 octobre, recevant une aide humanitaire abondante, bien au-delà des besoins minimaux.

Le Hamas, pour sa part, a commis des crimes de guerre flagrants ce jour-là et continue à torturer et tuer des otages israéliens. Si le CPI persécute ceux qui luttent pour la justice, cela prouve que la justice humaine est, comme toujours, imparfaite.

La justice humaine : des lois faillibles

La justice humaine repose sur ce que les yeux voient et ce que le cœur ressent. Elle est issue de déductions logiques, souvent attribuées aux penseurs grecs, mais en réalité héritées de l’Égypte ancienne, que Dieu nous commande de quitter symboliquement chaque jour.

Les failles de la justice humaine :

1. Elle régresse. Ce qui était autrefois un crime grave peut aujourd’hui être toléré.
2. Elle est partiale. Les lois sont appliquées différemment selon l’idéologie politique ou le statut social des individus.
3. Elle est corruptible. Le pouvoir, l’argent et les influences politiques manipulent les verdicts.

La justice divine : un modèle éternel

Contrairement aux lois humaines, la loi divine est immuable et universelle.

1. Elle ne change pas. Depuis les temps de Moïse, l’adultère reste un crime grave, tout comme le vol, qui entraîne des restitutions strictes et proportionnelles.
2. Elle s’applique partout. Les sept lois noachides pour les non-juifs et les 613 mitsvot pour les Juifs restent universelles et intransigeantes.
3. Elle est impartiale. Même les plus grands, comme Moïse, le roi David ou le roi Salomon, n’ont pas échappé aux conséquences de leurs fautes.

Une justice supérieure

Accuser un leader juif pour des actes héroïques tandis que des terroristes agissent impunément révèle l’absurdité des lois humaines manipulées par des juges corrompus.

Le seul moyen de restaurer l’ordre et la justice dans le monde est de suivre la loi donnée par Dieu à Moïse au mont Sinaï.

La loi de Dieu pour le monde de Dieu.