La première règle en éducation est de ne pas exiger des enfants des choses irréalisables. En fait, le Saint, béni soit-Il, se comporte déjà selon cette règle, comme nos Sages enseignent: HaChem, ne vient pas chagriner Ses créatures - IL n'exige de chacun que des choses réalisables et non au-delà de ses forces.
Nous savons que Rabbi Chimon bar Yo’hai avait un amour invincible pour ses frères juifs. Il disait : « Celui qui aide un juif c'est comme aider la Che'hina.»
La plupart des habitants de cette petite ville n'étaient pas, pour le dire avec retenue, proches du mouvement hassidique de Breslev. À leurs yeux, cet endroit était en dehors du camp, et ils évitaient d'y mettre les pieds, mettant en garde leurs enfants de ne pas y entrer, de peur qu'ils ne soient « attrapés » dans leur filet
Rabbi Na’hman, dit que le secret pour persévérer dans l'étude de la Torah est de ne jamais parler mal d’aucun Juif. L'amour d'Israël doit toujours précéder le don de la Torah car c’est en aimant tout Israël que l'on se connecte à la Torah et reçoit de nouvelles compréhensions.
En ce grand jour de Lag BaOmer, il est possible d’obtenir de Rabbi Shimon toutes les délivrances dont on a besoin. Profitons de cette journée et repartons avec des paniers remplis de délivrances, amen !
L'enseignement central du Rav Arush : en période de difficulté, l'essentiel est de maintenir la joie et la foi, qui sont nos ancres pour croire que tout est pour le bien.
Lorsque vous honorez vos parents , les portes du succès s'ouvrent devant vous. Cette leçon est extraite d'un discours du Rabbi Shalom Arush, disponible sur le site de Breslev.
Rabbi Na’hman, dit que le secret pour persévérer dans l'étude de la Torah est de ne jamais parler mal d’aucun Juif. L'amour d'Israël doit toujours précéder le don de la Torah car c’est en aimant tout Israël que l'on se connecte à la Torah et reçoit de nouvelles compréhensions.
ls arrivèrent de nuit à Cracovie. Trouvant une auberge tenue par une jeune veuve juive, ils lui demandèrent l’hospitalité. Pendant qu’elle préparait leur repas, ils allèrent se laver dans un fleuve voisin, mais un tourbillon les emporta et ils se noyèrent. La femme prépara le repas et attendit longuement l’arrivée des deux curés.
La plupart des habitants de cette petite ville n'étaient pas, pour le dire avec retenue, proches du mouvement hassidique de Breslev. À leurs yeux, cet endroit était en dehors du camp, et ils évitaient d'y mettre les pieds, mettant en garde leurs enfants de ne pas y entrer, de peur qu'ils ne soient « attrapés » dans leur filet
Faites les choses pour Celui qui les a faites », montre clairement qu’HaChem est l’Acteur de chaque mitsva. La seule part de l’individu réside dans son intention d’agir pour HaChem et son désir de faire Sa volonté.
:Même s’il chute mille fois, tant que l’homme s’accroche à son vouloir, sans se laisser abattre par ses échecs, il est considéré là-Haut comme un tsadik parfait, comme cela est décrit dans le livre "Or 'Hadash". Car aux yeux du Ciel, ce n’est pas la chute qui définit l’homme, mais la fidélité de son cœur
À cette époque, sans antibiotiques, les médecins étaient impuissants. Le prêtre de la ville, furieux que les juifs aient mis en danger la vie d'un vieil homme sans défense, menaça d'exterminer tous les juifs de la ville si l'homme mourait
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