Compter fait partie de la vie !

Dans la vie, il faut compter, lorsque l’on veut quelque chose nous attendons, et comptons. Nous fixons des buts et des projets, et comptons car compter fait partie de la vie.

Dans la vie, il faut compter. Mais si vous lisez ce que Rabbi Nathan écrit a propos de ce qu’il faut compter, vous comprendrez qu’il ne s’agit pas ici de compter de l’argent ou toute autre chose qui nous occupe la cervelle, et souvent même les doigts. Compter comme le dit Rabbi Nathan de Breslev c’est compter les jours.

Oui, les jours, notre vie.

Et comment fait-on ca ? La réponse dans les lignes qui suivent .

Les jours sont les jours du compte du Omer qui sont des jours très puissants et élèves. Nous ne les comptons pas tout simplement. Si l’on observe la Mitsva du compte du Omer , comme nous avons ordonnée dans les premiers ou nous sommes devenu un peuple, nous découvrirons qu’il se trouve en eux une chose très profonde . Lorsque les enfants d’Israël sortis d’Egypte ce n’était pas une simple délivrance sans aucun but, Halila. Ils sont sortis afin de recevoir la Thora et faire le service d’Hashem, comme l’a dit Hashem a Moche dans le buisson ardent:” En vous faisant sortir d’Egypte vous servirez l’eternel sur cette montagne.’ Et aussi :”Car les bnei Israël sont esclaves, mes esclaves que j’ai fait sortir d’Egypte c’est moi Hashem votre Dieu. ”et nos sages disent: A moi sont les enfants d’israel serviteurs et non serviteurs de serviteurs. C’est-à-dire la sortie d’Egypte était dans un seul but : qu’on sert le créateur , qu’on soit ses serviteurs, et non serviteurs d’autres hommes.

Et puisque le but finale de la sortie d’Egypte était afin de recevoir la thora, ils auraient du recevoir la Thora directement lorsqu’ils sont sorti d’Egypte et ont passé la Mer le moment ou ils étaient déjà sortis complètement du travail amère vers la liberté, n’est ce pas ? Pourquoi avaient il s donc besoin d’attendre 49 jours les jours du Omer et rien qu’après recevoir la thora a Chavouot ?

Faites attention au principe important qui ressort de cela ! Pour recevoir la Thora il faut une grande préparation et cette préparation demande du temps, et de nos jours chacun prépare des réceptacles pour recevoir la Thora – grâce a l’étude la prière, les bons désirs, les bonnes volontés, les bonnes actions et de nos jours aussi les chutes et les problèmes devant les quelles il doit faire face, et grâce auxquelles il se purifie. Toutes ses actions s’appellent ”Binyan Av” ”Socle principale” de toutes la Thora et la vie de façon générale. Cela puisque chaque chose que la personne veut mériter, chaque mauvais traits de caractères que la personne veut améliorer. Dans chaque chose il existe le principe du compte du Omer, la préparation créé par l’attente et la Création de réceptacles pour recevoir la chose tant attendu.

Ainsi toute la vie est un compte du Omer, pas seulement avant le don de la thora. Chacun a des projets dans la vie, des buts, des objectifs, et chaque que la personne veut atteindre, il faut qu’il sache qu’afin d’atteindre cela, cela prendra un bout de temps ou il devra surmonter des épreuves dans sa vie. Cela est connu comme principe: Plus la chose est grande et importante plus il faut préparer plus de réceptacles afin de la recevoir. L’essentiel création de réceptacles est grâce a la Tefila, la prière, l’attente, la patience, des montés et des descendes des hauts et des bas. Comment faisons face a tout cela ? Pendant ces jours ci – les jours du Omer dans les quelles nous nous trouvons, ces jours nous apprennent comment se comporter depuis le moment de la préparation et jusqu’au moment ou l’on reçois la chose tant attendu, ils sont ceux qui nous éduquent et incruste en nous le principe fondamental de l’attente. Et ce n’est pas une simple attente, pendant cette attente il y a un superbe travail. Oui, même si ”rien” qu’on attend avec patience, prions et désirons la chose . Car chaque chose dans la vie a son propre compte du Omer.

Si nous attendons pas avec patience, avec des prières, si nous ne comptons pas les jours –il est impossible de recevoir quoi que ce soit avec sa bénédictions. Recevoir quelque chose sans préparer les récipients pour et créer les réceptacles- cela est impossible.  Et même si la personne reçoit cette chose cela représente un grand danger pour lui car ainsi l’orgueil entre en lui. En plus, il reçoit quelque chose sans avoir travaillé pour, ce qui entraine tout simplement qu’il ne saura pas apprécier ce qu’il peut recevoir.

Un tel homme n’a pas les récipients pour recevoir cette chose. Rien qu’une longue attente permet a la personne d’être posée dans ses pensées et de prier de faire une introspection et ainsi préparer les récipients sur tous les plans- merite que l’homme reçoit cette chose de façon simple et complète.

Le compte du Omer, est en lui, un grand encouragement. Chaque jour qui passe sur le chemin vers l’acquisition de la chose tant voulu chaque tel jour il compte et celui-ci lui le fait exister, sentir et vivre.

Chaque jour il sait qu’il se rapproche de la destination. Chaque pas vers le but lui permet de cree une autre partie du réceptacles. Le réveil d’un tel travail , d’un tel compte permet a l’homme d’utiliser sa vie de la meilleur façon et a son maximum- avec plus de profondeur, de secret et d’observation, etc. Rabbi Nah’man de breslev dit sur cela que la préparation a la Mitsva est souvent beaucoup plus importante que la Mitsva elle-même!

L’essentiel construction du récipient est grâce la préparation que l’homme sait que tout ce qu’il reçoit ce n’est rien que cadeau d’hashem.

Lorsqu’il comprend cela il mérite une grande chose –de remercier Hashem , lui être reconnaissant sur le cadeau qu’il lui a fait. L’homme lui est content de son sort et remercie le Créateur. Il mérite la foi qu’il n’y a rien d’autre qu’hashem. C’est la vraie lumière de D.ieu.  Rien que lorsque la personne attend et fait face a de grandes épreuves en les surmontant grâce a la tefila sans tomber dans le sentiment d’orgueil qui fait entrer l’homme dans l’obscurité totale. C’est pourquoi ne vous en faites pas si vous vous trouvez face a de grandes épreuves sur le chemin vers le but . C’est une partie importante et qui ne peut être détacher de lui, ce sont les miséricordes du Créateur sur l’homme car Il ne veut pas que l’homme tombe dans l’orgueil.
Ici se pose maintenant la question- pourquoi comptons nous les jours du Omer avec bénédictions, comment est ce possible que nos sages ont institue une bénédiction sur une chose tellement simple ?Non. 

Ces jours sont plein de profondeurs. Celui qui ne se relit pas a la profondeur des choses et a ses secrets qui se trouve dans les paroles explique plus haut alors son compte devient banale a tel point qu’il existe des gens qui pose la question qu’a ton compter hier ? cela rend la chose banale et sans aucune profondeur et montre bien que la personne n’a pas compris le sens de cette Mitsva. Celui qui comprend l’importance de cette chère Mitsva ne l’a quitte pas un seul instant pendant tout la période du omer.

Nous comptons toute la journée entière et pas rien que pendant les quelques minutes du compte le soir.

Nous ressentons toute la journée le compte qui est une attente et pleine de volonté de prières envers le but de recevoir la thora, c’est pourquoi il faut imprégner beaucoup de forces dans le compte lui-même pour se renforcer et se réveiller. Il existe aussi des Hassidim qui rajoute après le compte du omer des prières personnelle sur leur propre compte du omer cela donne une dimension totalement autre a ce compte qui a l’air si simple.

Le compte de ces jours il faut le faire avec toutes les forces de façon longue et douce. Comprendre qu’il se cache la un grand cadeau come rabbi nah’man nous dit que l’attente est un cadeau –nous nous préparons a la grande chose sur le plan personnelle et universelle.

Que soit Sa volonte qu’on mérite de diffuser la lumière du Créateur dans le monde entier e grâce a cela une grande abondance descendra dans tous les mondes , et l’on méritera une délivrance complète Amen