Hanouka, c’est dire merci
Quand un juif ne perd pas espoir et remercie pour le peu qu’il a tout comme il remercie pour l’abondance, c’est un avant-goût du monde futur...
Quand un juif ne perd pas espoir et remercie pour le peu qu’il a tout comme il remercie pour l’abondance, c’est un avant-goût du monde futur...
C'est le cœur brisé qui nous permet de recevoir la Tora, depuis Béréchith, et d'en recommencer l'étude avec toutes nos forces.
Rabbi Na'hman de Breslev a dit que si le monde entendait ses leçons de Tora avec l'air qui leur est spécifique, il lui serait impossible de se tenir face à elles.
L'absence de volonté de s'annuler entièrement devant le Tsadiq s'était révélée par le fait que ses frères avaient vendu Yossef.
C'est pour cette raison que Rabbi Na'hman avait demandé à chaque personne d'être avec lui à Roch Hachana. Selon Rabbi Nathan cela s'applique même après sa disparition de ce monde.
Ainsi est la nature de l'être humain : lorsqu'il possède 100 €, il en désire 200... C'est précisément cette nature que nous devons briser.
La difficulté que nous avons à trouver un gagne-pain décent provient le plus souvent de notre attitude fautive dans notre façon de prêter aux autres en leur demandant des intérêts.
Même s'il nous manque certaines choses, nous ne ressentons nullement ce manque comme quelque chose de négatif...
De fait, chaque action faite en sainteté possède un aspect de “naissance”. Conséquemment, chaque action doit être accompagnée de...
Nous voulons atteindre ce sentiment de joie véritable, même si pour cela, nous devons adopter une attitude légère, danser et applaudir sans fin.
Nous constatons que grâce à l'amour que nous portons aux autres juifs, nos remontrances possèdent un aspect positif et réconfortent les personnes à qui nous nous adressons.
Moché Rabbénou pouvait prononcer cinq cents quinze fois la même prière, sans afficher le moindre signe de désespoir.