Coutumes breslev pour yom tov
Le Rabbi a dit qu'en donnant la tsedaqa la veille du jour de fête, il est possible de voir à travers l'illusion de la nature et d'éprouver la véritable joie de yom tov.
Le Rabbi a dit qu'en donnant la tsedaqa la veille du jour de fête, il est possible de voir à travers l'illusion de la nature et d'éprouver la véritable joie de yom tov.
Selon Rabbi Levi Yits'haq Bender, la mélodie “Ya'alé ta'hanounénou” que les breslev chantent le jour de Kipour trouve son origine chez le Ba'al Chem Tov...
Le Rav Guedaliah Kenig n'utilisait pas un miroir pour s'assurer que la tefiline était placée correctement sur sa tête; il considérait l'usage du miroir comme une rigueur excessive.
En ce qui concerne la mise des tefilines de la main en position assise, le Rav Guedalia Kenig avait dit à son fils – le Rav Elazar Kenig – tandis qu'il était adolescent...
Un fabricant de tefilines se plaignit un jour au rabbin Kenig en lui disant que certains de ses clients lui demandaient de faire les bords des batim parfaitement affilés...
Rabbi Nathan mentionne qu'on doit démêler les fils des tsitsith avant de mettre le talith (qatan ou gadol) et s'assurer que chaque fil est kacher.
Certains 'hassidim breslev portent leurs tsitsith avec le tekheleth (fil bleu), tandis que d'autres portent les tsitsith traditionnelles...
Durant les trois semaines, de nombreux 'hassidim breslev ont la coutume de s'asseoir sur le sol les jours de semaines à midi pour réciter le Tiqoun 'Hatsoth...
Un juif 'hassid devrait s'immerger dans un miqwé chaque jour. A l'époque de Rabbi Na'hman, cela était très difficile à cause du froid...
Rabbi Na'hman de Breslev a enseigné : "Dès qu'on se réveille, dès qu'on ouvre les yeux, on doit se souvenir du Monde à venir.”
Une des sources d'information les plus importantes sur la communauté breslev d'avant-guerre d'Ouman est le rabbin Lévi Yits'haq Bender...
Le concept de se “lier” au tsadiq est important car ce sont les tsadiqim qui élèvent les prières du peuple juif...