Etre habitué aux Mitsvot-A’harei Mot
Notre parachah traite entre autre du tirage au sort entre les deux boucs : « Aaron tirera au sort pour les deux boucs, un sera pour l’Eternel et un pour Azazel »
Notre parachah traite entre autre du tirage au sort entre les deux boucs : « Aaron tirera au sort pour les deux boucs, un sera pour l’Eternel et un pour Azazel »
Le Talmud nous enseigne « Celui qui offre un cadeau à son ami, doit le lui faire savoir». C’est ce qu’a fait le Saint, béni soit-Il, quand Il dit à Moïse: «Je possède un bon cadeau
Celui chez qui la foi s’enracine, ressemble à un nouveau-né qui n’a pas goûté au péché ou à un nouveau prosélyte : il s’en rassasie et elle se rassasie de lui.
Nous savons que les serviteurs étaient d’accord pour libérer les enfants d’Israël, mais Pharaon endurcit son cœur et refusa de le faire…
Nous devons faire la guerre, c’est-à-dire à attaquer le mauvais penchant, prier D-ieu de nous sauver de l’emprise de cet ennemi, et saisir la Tora qui est un cadeau.
Avraham pria pour que ses enfants suivent les voies de D-ieu et restent attachés au fond de leur âme aux patriarches Avraham, Yits’haq et Ya’aqov…
On peut dire que les tsitsith incarnent la célérité et la sainteté avec lesquelles il convient d'accomplir la mitsvah.
Le mont Sinaï symbolise l’abaissement et l’humilité, et on peut apprendre de lui comment s’abaisser devant D-ieu et se conduire humblement, en sachant devant Qui on se tient.
Escalader une haute montagne implique de faire de gros efforts et de suer beaucoup pour arriver au sommet. Il en va de même de l’étude de la Torah...
Comment l’homme atteindra-t-il cette proximité maximale, cet enthousiasme sans réserves dans le service de D-ieu ? Par la flamme...
Si les Israélites avaient veillé à leur vue: s'ils l'avaient conservée pure et sainte, Mais ils l'ont souillé en regardant l'interdit.
Saisi d'un enthousiasme indescriptible, l'individu proclame sa volonté d'accepter tout ce qui est écrit dans la Torah, ce que son esprit saisit et ce qui va au-delà de son entendement