Notre parachah traite entre autre du tirage au sort entre les deux boucs : « Aaron tirera au sort pour les deux boucs, un sera pour l’Eternel et un pour Azazel »
Le Talmud nous enseigne « Celui qui offre un cadeau à son ami, doit le lui faire savoir». C’est ce qu’a fait le Saint, béni soit-Il, quand Il dit à Moïse: «Je possède un bon cadeau
Celui chez qui la foi s’enracine, ressemble à un nouveau-né qui n’a pas goûté au péché ou à un nouveau prosélyte : il s’en rassasie et elle se rassasie de lui.
Nous devons faire la guerre, c’est-à-dire à attaquer le mauvais penchant, prier D-ieu de nous sauver de l’emprise de cet ennemi, et saisir la Tora qui est un cadeau.
Le mont Sinaï symbolise l’abaissement et l’humilité, et on peut apprendre de lui comment s’abaisser devant D-ieu et se conduire humblement, en sachant devant Qui on se tient.
Saisi d'un enthousiasme indescriptible, l'individu proclame sa volonté d'accepter tout ce qui est écrit dans la Torah, ce que son esprit saisit et ce qui va au-delà de son entendement
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