Les sept mitsvoth des Bnei Noah

Quand D-ieu sauva Noah (Noé) et sa famille du déluge, Il leur donna sept commandements, "les sept mitswoth des Bnei Noah", ou “les commandements de Noah”.

11 Temps de lecture

la rédaction de Breslev Israël

Posté sur 27.10.22

Quand D-ieu sauva Noah (Noé) et sa famille du déluge, Il leur donna sept mitsvoth (commandements). Ces mitsvoth sont appelées “les sept mitsvoth des Bnei Noah“, ou “les commandements de Noah”. 
Les sept commandements sont :
1. Interdiction de l’idolâtrie.
2. Ne pas blasphémer.
3. Ne pas tuer.
4. Ne pas s’engager dans des unions illicites.
5. Ne pas voler.
6. Ne pas manger un membre d’un animal vivant.
7. Instaurer des tribunaux.
Ces commandements sont relativement simples à comprendre et à mettre en pratique. De plus, la plupart d’entre eux correspondent à des principes moraux importants. N’importe quel non-juif qui suit ces lois – parce que le Tout-Puissant les a ordonnées – a une place dans le Monde à venir et il est appelé “‘Hassid des nations du monde” ou Ben Noah (fils de Noé).
Ces mitsvoth concernent tout le monde, juifs et non-juifs, car nous sommes tous des descendants de Noah (Noé) et de sa famille. D’autre part, les 613 mitsvoth (commandements) de la Tora (Bible) concernent seulement les descendants des personnes qui ont accepté les commandements au Mont Sinaï, ainsi que ceux qui ont décidé volontairement de suivre ces commandements (par une conversion).
Les sept lois de Noah démontrent que les lois et les règles du Tout-Puissant s’appliquent à tous les êtres humains et qu’Il nous aime tous, juifs et non-juifs. Ces lois fournissent une direction à suivre à l’ensemble de l’humanité et pas seulement aux juifs.
Selon le Rambam : “Toute personne parmi les nations qui suit les sept commandements pour servir D-ieu, appartient aux Justes parmi les nations et cette personne aura sa part dans le Monde à venir.”
Fait le bien !
Le Talmud fait souvent référence à un non-juif en utilisant le terme “Ben Noah” (“le fils de Noé”). De fait, tous les êtres humains sont des descendants du patriarche Noah. Avant même que la nation juive ne naisse, les êtres humains avaient pour ordre de respecter certaines mitsvoth : six du temps d’Adam, sept du temps de Noah… Pour le peuple juif, les 613 mitsvoth de la Tora supplantent les sept mitsvoth données à Noah. Cependant, pour les personnes qui ne sont pas juives, ces sept mitvsoth conservent leur caractère unique et peuvent être appliquées si elles le décident. Il est important de prendre conscience que D-ieu jugera tous les personnes qui ne sont pas juives en fonction du respect qu’elles accordaient de leur vivant à ces lois.  
Puisque les sept mitsvoth des Bnei Noah semblent être la base de valeurs éthiques, n’est-il pas suffisant de les respecter parce que nous désirons être de bonnes personnes, des êtres humains dotés d’une éthique ?
Dans la réalisation d’un acte, notre intention sous-jacente est extrêmement  importante. Ainsi, nous pouvons mettre en pratique ces sept lois parce que cela correspond à l’idée que nous nous faisons du bien et du mal, à notre sens de la justice, etc. De la sorte, savoir que le Tout-Puissant nous a ordonné de les mettre en œuvre ne jouerait aucun rôle dans notre motivation. Même si l’on peut souhaiter que l’ensemble de l’humanité suivent ces mitsvoth – au-delà de la nature spécifique de sa motivation – celles-ci sont considérées être mise en pratique d’une façon idéale lorsque nous les faisons parce que D-ieu nous l’a ordonné. L’habitude consiste à appeler une personne qui agit ainsi un “Ben Noah” (“un fils de Noé”) ou une “Bath Noah” (“une fille de Noé”). Selon le Rambam, un non juif doit accepter spécifiquement ces mitsvoth tout simplement parce que D-ieu les a révélées au Mont-Sinaï à Moché, pour être transmises aux peuples de l’humanité.
En d’autres termes, les sept mitsoth des Bnei Noah ne sont pas simplement quelque chose de “bien”, quelque chose que l’éthique nouvs demande de faire. Plutôt, il s’agit de Lois divines, de “halakhoth ” (“lois juives”). De fait, le Talmud nous apprend que depuis que le Temple est détruit, D-ieu n’a plus de lieu attitré de résidence dans notre monde, à l’exception du domaine de la halakha (“loi juive”). Pour que ces mitsvoth puissent devenir un Récipient divin, elles doivent être suivies de manière appropriée, ce qui signifie qu’elles doivent être respectées selon la halakha.
De la même manière que les juifs doivent suivre la halakha en respectant les 613 commandements, il existe des halakhoth à respecter pour les sept mitsvoth des Bnei Noah. Les détails halakhiques de ces mitsvoth dépassent évidemment l’envergure de cette courte présentation. Cependant, nous suggérons aux personnes désireuses d’approfondir ce sujet de lire nos nombreux articles dans la rubrique “Bnei Noah” et si elles en sentent le besoin, de nous contacter directement. Nous serons heureux de les aider dans leur recherche de spiritualité.
Trouver D-ieu dans notre monde
Quelques paroles de nos rabbins…
En faisant référence au don de la Tora, il est écrit dans la Bible : “Ils entrèrent dans le désert du Sinaï et ils y campèrent.” (Exode 19:2).
“La Tora fut donnée dans un lieu qui n’appartenaient à personne, car si elle avait été donnée sur la Terre d’Israël, les nations du monde diraient qu’elle n’y ont aucune part. Cependant, elle fut donnée dans le désert et tous ceux et celles qui espèrent la recevoir devraient venir et l’accepter.” (Midrach Mé’hilta 20).
“Chaque parole qui sortait de la bouche de D-ieu fut prononcée en soixante-dix langues.” (Chabath 88b).
Rabbi Yo’hanan a dit : ‘La voix s’est divisée en soixante-dix voix qui sont les soixante-dix langues de base dans le monde ; ainsi chaque nation pouvait entendre la voix dans sa propre langue.”” (Midrach Raba sur Chemoth 85:19).
Le Meiri explique : “Si un non-juif apprend les sept mitswoth des Bnei Noah dans leurs moindres détails ainsi que tout ce qu’il peut glaner de leur enseignement, alors… nous devons l’honorer comme devrait l’être un Grand Prêtre (Kohen gadol ).”
La méditation mène à la croyance
Tout le monde – juifs et non-juifs – recherche une certaine forme de spiritualité afin d’atteindre la vérité. “Du soleil levant jusqu’à son couchant, que le nom de l’Éternel soit célébré !”  (Psaumes 113:3).
Rabbi Eliyahou Lopian posa une question : “Lorsque le Roi David composa le livre des Tehilim (Psaumes), le monde était rempli d’idolâtrie et seul le peuple juif vénérait le Tout-Puissant. Si le monde était rempli d’idolâtrie, comment D-ieu aurait put-Il être loué “du lever au coucher du soleil” ?
Selon Rabbi Lopian, l’âme désire naturellement le Créateur, comme il est dit : “Mon âme a soif de toi.” (Psaumes 63:2). Bien qu’une personne puisse être tentée d’assouvir sa soif en vénérant une idole, elle continuera à aspirer à la vérité. Si cette personne poursuit ce désir, elle trouvera certainement D-ieu, de la même manière que notre patriarche Abraham trouva le véritable D-ieu.
De quelle façon Abraham découvrit-il le vrai D-ieu ? “Il commença à réfléchir jour et nuit ; il était stupéfait de voir une constellation évoluer sans qu’une personne apparente la dirige. Qui pouvait la faire bouger ? De fait, il était impossible qu’elle bouge d’elle-même. Abraham n’avait pas de professeur ou une autre personne qui aurait pu le renseigner. Il vivait à Our Kasdim, une ville d’idolâtres. Ses parents – et tout le monde autour de lui – vénéraient des idoles ; lui aussi les vénéraient avec eux. Cependant, il se sentait tellement mal à l’aise que son raisonnement l’amena à une vraie connaissance d’un D-ieu Unique qui dirige les constellations, qui créa tout et qu’il n’y a pas d’autre D-ieu que Lui.” (Rambam, Les Lois sur l’idolâtrie). Ainsi, c’est la méditation qui amena Abraham à la véritable spiritualité.
Le rabbin Yechaya Karelitz – connu sous le nom du ‘Hazon Ich – explique la raison pour laquelle la méditation amène à la croyance de D-ieu :
“L’attribut de foi est subtil, une qualité de l’âme délicate. Si une personne a le sentiment de posséder une âme et ceci dans un environnement calme, lorsqu’elle contemple l’immensité du ciel et la profondeur de la terre, elle ne peut s’empêcher d’être stupéfait, car le monde lui paraîtra comme un puzzle insoluble. Ce mystère enchevêtre l’esprit et le cœur, jusqu’à ne plus penser à rien d’autre. Apparait alors le sentiment de perdre conscience, d’avoir le souffle coupé dans notre action pour trouver une solution. Nous nous sentons capables de traverser le feu et l’eau afin d’obtenir la réponse ; de fait, que représente véritablement la vie si nous n’en connaissons pas le but ultime ?” (“Croyance et confiance” Vol. 1).
Rabbi El’hanan Wasserman élabore en disant : “Les merveilles de la création demandent à chaque personne d’arriver à la conclusion qu’elles ont été créées par une Divinité. Par conséquent, chaque individu sera jugé s’il ne fait pas ce qu’on attend de lui, selon sa propre compréhension” (Kovetz Maamarim)
Des mots de la conclusion : “chaque homme sera jugé s’il ne fait pas ce que l’on attend de lui par la raison de son intelligence innée” nous apprenons qu’un juif doit respecter les directives indiquées dans la Tora et qu’un non-juif doit respecter les sept mitswoth de Bnei Noah.
De quelle façon peut-on suivre les sept mitswoth ?
Regardons de plus près les mitswoth et ce qu’elles entraînent.
1. Ne pas prier des faux dieux
L’essence des sept lois de Noah est l’interdiction formelle de vénérer des idoles ou faire de l’idolâtrie. Il nous est interdit de servir ou de vénérer toute autre création : être humain, ange, plante, étoile ; entrent également dans cette interdiction les quatre éléments fondamentaux (la terre, l’eau, le feu et l’air), ainsi que tout ce qui découle d’eux. Afin de respecter correctement l’interdit de ne pas faire de l’idolâtrie, on doit être conscient que D-ieu est unique.
Qu’est-ce que cela signifie ?
1.  On ne doit pas croire qu’il y a une autre divinité que D-ieu.
2.  On ne doit pas posséder d’idole, ou se faire une idole, ou demander à une tierce personne de le faire pour nous.
3.  On ne doit pas prier un autre D-ieu.
4.  On ne doit pas se pencher devant un autre D-ieu, faire un sacrifice pour un autre D-ieu.
 5.  On ne doit pas se rapprocher de l’idolâtrie : en paroles, en pensées, par des actes ou tout autre moyen qui nous amènerait à un culte.
2. Il ne faut pas jurer au nom de D-ieu
Maudire le Créateur – ou utiliser Son Nom pour maudire une de Ses créations – c’est une manière de faire preuve d’une foi incomplète (ou la croyance incomplète de son Absolue Unicité). C’est la seule interdiction qui implique le discours plutôt que l’acte et qui prouve l’importance de l’attribut humain unique qui est la parole.
3. Ne pas tuer
Il nous est interdit de commettre un homicide. D-ieu nous a chargé de protéger et de sauvegarder la vie humaine, la nôtre et également celle des autres personnes. À l’exception des cas de légitime défense et des actions qui sont commises pendant les guerres, la punition pour le meurtre est la peine capitale. De fait, il est écrit : “Celui qui verse le sang de l’homme, par l’homme son sang sera versé ; car l’homme a été fait à l’image de D-ieu.” (Genèse 9:6).
Il est également interdit de faire du mal à une autre personne, y compris à un fœtus. C’est pour cela que l’avortement est interdit. À propos du verset que nous venons de citer, le Talmud nous enseigne que cela concerne aussi “un homme qui est dans un homme.” (Sanhédrin 57b).
Une personne malade ou blessée ne devrait pas voir sa vie écourtée. “Et à l’homme qui frappe son frère, Je redemanderai la vie de l’homme.” (Genèse 9:5). Cela veut dire que même si nous ressentons énormément de compassion pour une personne qui souffre, il est interdit de faire quoi que ce soit pour raccourcir sa vie. En d’autres termes, l’euthanasie et “tuer par pitié” sont interdits.
D-ieu nous a demandé de sauver la vie humaine, y compris la nôtre. Il est écrit : “Toutefois encore, votre sang, de votre vie, J’en demanderai compte.” (La Genèse 9:5). Par conséquent, le suicide est interdit.
La masturbation masculine (répandre sa semence en vain) est aussi désapprouvée car considérée comme un acte à caractère meurtrier, comme on le voit dans l’histoire de Er et Onan qui devaient respecter les sept mitsvoth des Bnei Noah. La masturbation est punie par une sanction divine.
4.  Ne pas s’engager dans des unions illicites
Une conduite sexuelle immorale est interdite ; dans ce domaine, D-ieu exige de nous une attitude au-dessus de tout soupçon. Dans toute la Création, il n’existe aucune loi qui permet un individu d’enfreindre les lois sexuelles à cause de sa “vraie nature”. Selon le rabbin Yirmeyahu Bindman, auteur de l’ouvrage (en anglais) “Les sept couleurs de l’arc en ciel”, “Il ne peut exister une telle chose que ‘l’adultère’ ou ‘l’homosexualité’, pas plus qu’il ne peut existe un ‘voleur’”. Si une personne désire réellement respecter les lois de D-ieu, elle doit pouvoir  résister à la tentation de faire une action qui selon D-ieu est mauvaise.
Qu’est-ce que cela signifie ?
1. Un homme ne doit pas avoir une relation avec sa mère.
2. Un homme ne doit pas avoir une relation avec sa sœur.
3. Un homme ne doit pas avoir une relation avec la femme de son père (même s’il ne s’agit pas de sa mère biologique).
4. Un homme ne doit pas avoir de relation avec la femme d’un autre.
5. Un homme ne doit pas avoir de relation avec un animal.
6. Un homme ne doit pas avoir de relation avec un homme.
7. Nous devons nous abstenir d’un acte qui nous conduirait à avoir une relation interdite.
L’homosexualité féminine est également considérée comme étant une “abomination.”
Bien qu’il ne soit pas interdit aux non-juifs d’avoir des relations sexuelles avant le mariage, ils sont encouragés à les éviter. Grâce au mariage, nous développons un comportement adéquat en ce qui concerne les rapports qui existent entre un homme et une femme. De plus, en construisant un mariage solide et affectueux, notre vie acquiert une nouvelle dimension et nous transmettons également aux générations futures les fondations nécessaires pour qu’elles deviennent remplies d’êtres humains qui possèdent un aspect spirituel.
5. Ne pas voler
Il est interdit de voler de l’argent ainsi que tout autre objet (vivant, inerte…). Il est également interdit de voler : son employeur (en ne travaillant pas tandis que nous sommes censés travailler), le temps des autres personnes (ne pas remettre un livre à sa place dans une bibliothèque), le bien-être physique ou psychologique d’une personne (en disant ou en faisant quelque chose qui peut choquer…)… L’interdiction de voler est sans doute la plus difficile à respecter des sept mitswoth des B’nei Noah car les occasions de voler se présentent à nous d’une façon continuelle.
Qu’est-ce que cela signifie ?
1. Nous ne sommes pas autorisés à voler.
2. Nous ne sommes pas autorisés à tricher.
3. Nous ne sommes pas autorisés à nier une dette d’argent que l’on doit.
4. Nous ne sommes pas autorisés à faire payer quelque chose trop cher.
5. Nous ne sommes pas autorisés à kidnapper.
6. Nous ne sommes pas autorisés à utiliser ou même à posséder des instruments de mesures faussés.
7. Si on a volé, on doit rendre ou payer pour l’objet volé.
6. Ne pas manger un membre d’un animal vivant
Cette interdiction ne concerne par l’hygiène ou la santé physique. Elle a plutôt un caractère spirituel : le fait de manger de la viande d’un animal en vie se trouve à la source de la cruauté et de l’égoïsme. Manger ne serait-ce qu’une petite quantité de cette viande (viande prise d’un animal vivant), enfreint l’interdiction, même si on a fait cuire la viande avant de la consommer. L’objectif de cette interdiction n’est pas de promouvoir la nourriture végétarienne. Avant le Déluge, toutes les viandes étaient interdites à la consommation. Après le Déluge, D-ieu dit à Noah que la viande serait autorisée seulement en maintenant cette condition dans la préparation. Les interdictions alimentaires qui se trouvent dans la Tora possèdent une profonde signification mystique et l’interdiction de manger de la viande vivante est explicite, comme il est écrit dans la Genèse (9:3-4) : “Tout ce qui ce meut, tout ce qui vit, servira à votre nourriture; de même que les végétaux, Je vous livre tout. Toutefois aucune créature, tant que son sang maintient sa vie, vous n’en mangerez.”
Qu’est-ce que cela signifie ?
1. Nous ne sommes pas autorisés à manger un membre qui a été détaché d’un animal en vie (bête sauvage, poisson, volaille…)
2. Nous ne sommes pas autorisés à manger la chair d’un animal qui a été mis en morceaux par une bête sauvage, laquelle a pris part à l’interdiction de manger un animal qui a été déchiqueté alors qu’il était en vie.
7. Instaurer des tribunaux et juger les criminels
Quand D-ieu a créé l’homme, Il lui a fait confiance pour qu’il instaure des tribunaux afin de préserver les sept lois de Noah. Le monde ne peut être laissé dans l’anarchie. Un système organisé de lois et de tribunaux est indispensable pour que tout le monde puisse être jugé d’une façon équitable et que personne puisse faire régner sa propre loi.
Nos Sages ont dit : “Une personne qui juge sans mentir devient en quelque sorte le partenaire de D-ieu dans la création du monde.”
Aspirations
Bien qu’honorer nos parents ne fasse pas partie des sept mitswoth des Bnei Noah, lorsqu’un non-Juif honore ses parents, il rend le monde meilleur ; à ce titre il reçoit une récompense. ‘Ham – un des trois fils de Noah – a été durement puni pour avoir porté atteinte à l’honneur de son père (Genèse 9:22). À l’inverse, lorsqu’un Ben Noah honore ses parents, il est récompensé par le Ciel.
De la même manière, Lot fut glorifié pour avoir risqué sa vie en recevant chez lui des invités dans la ville de Sodome, une ville qui avait proscrit toute hospitalité (Genèse 19:1-10). D’autre part, le Midrach raconte qu’Abraham avait rendu visite à son fils Ichmaël pour constater s’il était accueillant envers ses invités. Lorsque la femme d’Ichmaël n’accueillit pas Abraham de bon cœur, celui-ci conseilla à Ichmaël de divorcer.
La responsabilité des Bnei Noah consiste à posséder de bons traits de caractère et à s’efforcer de se rapprocher du Tout-Puissant grâce à la prière et en apportant des offrandes dans le Beith HaMiqdach (l’ancien Temple de Jérusalem) ; qu’il soit reconstruit rapidement et de nos jours, comme il est dit : “Je les amènerai sur Ma sainte montagne, Je les comblerai de joie dans Ma maison de prières, leurs holocaustes et autres sacrifices seront les bienvenus sur Mon autel; car Ma maison sera dénommée la ‘Maison des prières de toutes les nations.’” (Isaïe 56:7).

Ecrivez-nous ce que vous pensez!

1. Riccardo Guerrieri

1/19/2024

Shabbat Shalom.
Merci. Je ne suis pas juif, et je suis très intéressé par ces questions et par la pratique des sept mitswoth des Bnei Noah.
(il y a quelques coquilles dans le texte)

Merci pour votre réponse!

Le commentaire sera publié après approbation

Ajouter un commentaire