Débutante à Ouman

En tant que débutante a Ouman, avec quelques conseils de mes copines, je pense que peut être le Tsadik m’appelle…ou peut être j’imagine ou j’espère ?!

Je veux vous faire part d’une histoire extraordinaire d’une amie qui est rentrée il y a quelques jours d’Ouman. Nous étions assis tout un groupe d’amies, dont une partie ont déjà été sur le Tsioun de Rabenou, nous sommes restée bouche bé à l’écoute de son expérience vécu. Je ressens le besoin d’écrire une partie de celle-ci.

«Soirée de Chabbat, 4 heures du matin. J’ai ressentis un grand besoin d’aller sur le Tsioun. En tant que débutante a Ouman… et avec quelques conseils de mes copines, je pense que peut être le Tsadik m’appelle…ou peut être j’imagine ou j’espère ?!
En tout les cas, je prends quelques amies avec moi, et nous sommes allez sur le Tsioun de rabbi nah’man de breslev. Dedans, dans le certain silence qui se trouve la, je m’approche, pose ma tête, ferme mes yeux, me concentre et attend que quelque chose se passe.

«Alors cela arriva »

«J’ai vu un long tunnel et j’ai ressentis que je m’envole dedans à toute vitesse. Au bout, je suis arrivé dans une grande salle dans lequel était assis un homme sur une chaise haute. Je ne le vois pas, mais je l’entends.

«Inviter ici, sept âmes » dit-il. 

Au premier instant monta dans ma tête les âmes de mon mari et de mes enfants. Mais la simple pensée de les réveiller à 4 heures du matin pendant qu’ils sont en train de dormir tranquillement, m’embarrassa et je ressentis que ce n’est pas la chose à faire.
«Je parle avec le tsadik et lui explique que je ne veux pas les réveiller et lui demande encore une fois : « Inviter ici, sept âmes » Je me suis embrouillé, quelle âmes ? A qui fait-il allusion ?

Soudain, j’aperçu une table recouvert d’une nappe blanche. Autour de la table était assis, comme prêt à un festin de bienfaits, sept personnes que je connais qui ne sont plus en vie. Ma mère, mon père, mon grand père et mes deux grands mère, le père de mon mari, et mon beau frère. Ils se tiennent l’un après l’autre, me regardent, sourient, inclinent leurs têtes comme se prosternant un peu vers moi.
«Merci à toi, merci », me disent encore et encore en m’appelant par mon nom.

«Je suis toute troublé, je m’étrangle presque de larmes, avec des sentiments de liberté et de remerciement qui me remplissent tout entière. Je me souviens du cours que j’ai passée sur le sujet de «l’imagination dirigé» lorsque je suis arrivé à Ouman, dans laquelle j’ai imaginé mon père et ma mère, en habits blancs, court vers moi avec un grand sourire, m’enlacent et m’explique quelle chose énorme j’ai accompli en venant visiter chez le Tsadik, et quelle sérénité ont-ils de cela. Je comprends, que grâce à ma visite sur le Tsioun de Rabbi Nah’man de Breslev que leur âme c’est plus purifier et est monté dans un endroit plus élevé.

«Ainsi, mon beau père se tourna vers moi. Il me demanda de faire passer un message à son fils, mon mari ‘‘Je veux que tu dises  à mon fils que je l’aime et qu’il n’a rien à se soucier du tout ’’ Il dit. Je lui souris et une joie me rempli a déborder. Mon beau frère aussi me demanda de passer un message à sa femme, quelque chose de personnelle entre lui et elle. En lui racontant cette chose, ma belle sœur explosa en pleurs, me remercia et me dit que c’est extraordinaire puisque c’est si personnelle a tel point que c’est lié seulement a ses pensées. En plus, il est impossible que quelqu’un sache cela. Elle me remercia encore et me dit que son mari la délivra d’une chose qui l’embêta une longue période.

La vision s’arrêta et j’ouvris les yeux.

Lorsque je suis sortis du Tsioun je me suis souvenu, que ce Chabbat, pendant l’allumage des bougies, j’ai aussi allumé 7 bougies de Nechama pour ces 7 personnes. J’ai vraiment ressentis combien nos actes dans ce monde ci ont une influence sur le monde à venir et les âmes qui nous sont liés.

J’ai raconté a mes amies toutes étonnées tout ce que j’ai vecu, et elle m’ont dit que pendant tout le temps ou ma tête était posé sur le Tsioun et mes yeux fermés me montra du doigt, Choula, une femme qui passe son temps sur le Tsioun et habite presque la bas, comme si elle ressentis que je me trouvais en ce moment dans un autre monde…»