L’invitation

On mange on boit on danse mais qu’est ce qui nous attend au bout ? Que reçoit-on de toutes les coiffures stylées, les opérations plastiques et les heures de fitness ?

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le rabbin Lazer Brody

Posté sur 05.04.21

On mange on boit on danse mais qu’est ce qui nous attend au bout ? Que reçoit-on de toutes les coiffures stylées, les opérations plastiques, et les heures dans le centre de fitness ? Il faut observer l’invitation.

Rony observa l’invitation à sa Bar Mitsva qui vient d’arriver de l’imprimerie avec orgueil. Dans 4 semaines il aura 13 ans. Sans doute,

Rony est le centre avec un grand «LE» des jours à venir, l’attention de tous sont centré rien que sur lui. Son nom est écrit en grand à la
tête de l’invitation.

9 ans après, Rony attend une autre invitation un peu différente. Cette fois, son nom est écrit en grand sur le coté gauche de l’invitation et celui de sa future marié sur le coté droit. La taille des lettres de ces noms sont cette fois deux fois plus grande que les lettres du reste de l’invitation.

15 ans après cela. Rony et sa femme prépare la carte d’invitation de la Bar Mitsva de leur fils. Cette fois, leurs noms se trouvent en bas de la carte. Exactement à la même taille que le reste des détails.

25 ans sont passés. Cette fois, Rony et sa femme sont grand père et grand mère a qui leurs noms sont mentionné en tout petit dans l’endroit le plus bas de l’invitation de la Bar mitsva de leur petit fils.

Rony a déjà plus de 60 ans, mais avec beaucoup plus de sagesse et d’intelligence qu’il a amassé durant sa vie, est assit avec la carte d’invitation de son petit fils, la scrupule de près. Un soupir s’émet de sa bouche. Contrairement aux autres invitations, maintenant son nom est écrit en très petites lettres quelque part en bas de l’invitation. «Quelle est l’espérance de ce monde ci ? » il se dit à lui-même. «Le prochaine endroit n’est pas en bas de l’invitation mais deux mètre en dessous de la Terre !»

Rony après 6 décennies dans ce monde ci est arrivé à la conclusion que nos sages ont déjà découvert beaucoup plus d’années auparavant : «Akavia Ben Mehalalel dit, observe trois choses et tu ne fautera pas, Sache d’où tu viens, ou tu va, et devant qui tu devras donner bilan et compte» [Pirkei avot 3,1] Et le Tana continue et nous apprend sur l’humilité en disant : « D’où tu viens ? D’une goutte puante. Ou tu va ? A un endroit de terre de verre de terre.»

Alors, selon Akavia ben Mehalalel, Rony  ne s’est pas trompé : «L’homme marche tout le temps vers son point finale dans ce monde ci.

Chaque jour, qui passe le rapproche de sa mort et de son endroit de repos- La tombe, exactement comme son nom descend du haut de la carte jusqu’en bas.

Désespéré, et déprimé, n’est ce pas ? Est-ce que c’est ce que nous attendons ? Est-ce l’endroit vers lequel nous nous dirigeons ?

Parfois, nous fêtons et vivons un certain kiff dans la vie-on mange, boit, danse. Mais cette fin amère –devient de la nourriture pour les verres de Terre, c’est ce qui l’attend au bout du chemin ? C’est ce qu’on recevra de tous les investissements coiffures chez les plus grands stylistes, les opérations plastiques, et les nombreuses heures dans le centre de fitness ?

Si l’investissement de l’homme est sur son coté extérieur-sur son corps et comment il a l’air, alors son futur est évidemment déprimant et désespérant. Le corps, comme connu, commence à vieillir continuellement déjà à partir de l’âge de 35 ans jusqu'à la fin de sa vie dans ce monde ci. Alors qu’est ce qui a d’extraordinaire que les gens sont déprimés ? Celui qui vit jusqu'à 85 ans passe 50 ans de sa vie avec un espoir de ce corps qui vieillit. Grandir, avec une telle vision n’est pas le film qu’on aurait voulu voir.

La force d’attraction attire la personne vers le bas. Rabbi Nah’man de Breslev explique que la force d’attraction attire de façon naturelle l’homme vers le désespoir et la tristesse.

Mais voila les bonnes nouvelles. La Emouna est au dessus de la nature ! Une force spirituelle tire la personne vers le haut. C’est pourquoi, pour s’enfuir du destin amer du corps, à la personne d’adopter un sens de vérité spirituelle dans la vie, mettre l’accent sur son coté spirituel –l’âme qui est en lui, et pas le corps.

Venez et revenons aux paroles d’Akavia Ben Mahalalel :                     

«Sache d’où tu viens, et ou tu va »-Ton vrai «moi» est la Nechama qui selon le Zohar est une partie d’Hashem. C’est encourageant, car Hashem est un éternité infini, c’est pourquoi même nos âmes sont éternelle, elle ne meurt jamais. Nous sommes arrivé des endroits les plus élevés qui existe dans les mondes célestes, en dessous du saint trône de D-ieu, ou la bas se trouve la source de toutes les Nechamots. Nos âmes ont été envoyées dans ce monde ci pour accomplir la mission qui nous a été donné : D’apprendre la Emouna.

Apres 120 ans lorsque le voyage de remplir notre rôle se terminera on reviendra dans les mondes célestes, la bas on devra donner le compte et le bilan de tous nos actes, tous ce que nous avons fait pendant notre viré ici.

Le film spirituel à l’air bien meilleur que celui du corps, a qui tous ce qui lui reste est une tombe plein de vers de terre. Contrairement au corps qui vieillit et s’attire vers le bas avec le temps, l’âme la nechama qui désire la Emouna se trouve tout le temps en mouvement d’ascension. Comme un bon vin ainsi la Nechama- et la cervelle dans laquelle elle réside-devient de plus en plus meilleur.

Il n’est pas étonnant que beaucoup de grands dirigeants spirituels même en arrivant a l’âge de 90 ou 100 ans de leur vie, ils restent avec une cervelle claire et étincelante.Chacun d’entre nous a reçu le libre arbitre de décider vers quelle cote il veut marcher vers le haut ou vers le bas. Utiliser cette force avec intelligence       

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