Faire attention à ta Parnassa !

 La tristesse nuis la Parnassa

Une autre cause qui détruit la parnassa de la personne et le rend endettés est la tristesse. Il est écrit : « La tristesse fait perdre laParnassa » [Livre des Midots].Il existe des gens qui pensent qu’il n’y a rien de mal à être triste, surtout quand leurs volontés est d’exprimer un remord sur leurs mauvaises actions – alors ils le font par le biais de tristesse, de pleurnichement et d’amertume noire. Il n’existe pas de plus grosse erreur ! Comme il est écrit : dans le Likoute Moharan [2^eme partie, 48] : « La tristesse nuis beaucoup beaucoup, […], Une grande faute lorsqu’il est triste, Has Vechalom,car la tristesse est de l’autre coté[du coté obscur] (Zohar Hakadoch noah 71) et D’ la hait ». Au contraire, justement quand la personne se trouve dans la joie, il peut arriver à se repentir vraiment, car lorsque la personne est joyeuse, il ressent combien D’ l’aime, et donc, de ce fait il est capable de ressentir un vrai remord.

Colère

Le mauvais caractère qui est la colère nuis énormément a la Parnassa et a la richesse. Il faut retenir, que lorsque se renforce sur lui le penchant de la colère, il faut savoir qu’a ce moment D’ veut lui abonder une somme d’argent, qui peut être un bienfait pour lui sur le plan matérielle et spirituelle. Cependant le mauvais penchant ne désire pas cela, et donc essaye de lui empêcher ce bienfait, et lui voler cette abondance, Que D’ nous en préserve, en le réveillant a la colère. Tout cela car il sait que la colère nuis beaucoup a l’abondance de la richesse, et même si il a déjà de l’argent et des richesses, il est possible, Has Vechalom, qu’illes perdre a cause de la colère.

D’ieu est proche de ceux qui l’appellent –avec vérité, sincérité

Lorsque la personne a enlevé de sa vie les chèques et la carte bleue etc., lui reste qu’un seul conseil – de crier a D’. En fonction, de la grandeur du malheur, le cri sera du plus profond du cœur, comme il est écrit : «L’Eternel est proche de tous ceux qui l’invoquent, de tous ceux qui l’appellent avec sincérité »[Tehilim 145].Lorsque l’homme se tient devant le Créateur et lui raconte son malheur :« Mon créateur, éternel du monde, je te remercie que tu m’a aider jusqu'à maintenant , mais ma Parnassa me suffit pas s’il te plait rajoute moi, de la Parnassa… » Alors le Créateur l’aide !

Paroles sagessur la Tsedaka

• Il donnera la Tsedaka avec un grand sourire avec joie et bon cœur.
• Par le merite du don du Maaser, il est sauve des ennemis, et mérite le bon caractère de savoir se suffire de peu. [Likoute Moharan 221]
• La nature du Maaser est de faire tomber l’abondance et la bénédiction comme il est écrit : « Retire un dixième pour que tu t’enrichisses »
• Il est rapporté dans le livre Peri Aarets [paracha Reeh], une personne qui donne le Maaser, par le mérite de la Emouna qu’il a la foi que par la force de cette Mitsva de s’enrichir, l’abonde la bénédiction et la bienfaisance.
• Par le mérite du Maaser on mérite la confiance en D’ .( Meor Einayim )
• Celui qui donne leMaaser et la Tsedaka comme il faut, n’économise rien par cela, car de toute façon, comme par exemple que viendra des méchants, et prendrons cet argent, comme il est rapporté dans le traite de Baba batra[page 9] :«Rabbi Elazar dit : Au temps du Beit Amikdach :une personne, retire son Chekel, par cela sa faute est réparer. Maintenant, que le Beit Amikdach n’existe pas si on fait de la Tsedaka très bien mais sinon, viennent des idolâtres et lui prennent de force ». Ainsi, il perdra beaucoup plus que ca – car la Tsedaka protège la personne, et celui qui s’empêche de donner de la Tsedaka, rien ne le protégera des nuisant et des mauvais décrets, Que D’ nous protège.
• Même un pauvre donnera la Tsedaka, et alors D’ ne lui montrera pas de signe de pauvreté.
• Grande est la force du Maaser, qui retourne la malédiction en bénédiction.
• Par le mérite de la Tsedaka qu’il donne auTsadik, il est bénit immédiatement.
• La Tsedaka, dirige tous les roues célestes, et par elle s’abonde toutes les berah’ots.
• Latsedaka ouvre toutes les portes de la sainteté.
• Lorsque tu mériteras de donner de la Tsedaka, avec laquelle se diffuse le savoir du tsadik, comme la tsedaka pour une yechiva du Tsadik  ou pour la diffusion de ces livres et de disques la réussite t’illuminera. Comme a dit Rabbi nah’man de breslev : «Chez moi personne n’a perdu –chez qui je prend ,je donne »
• Par le biais de la Tsedaka l’homme mérite d’être associé à la construction du monde, et sa part sera dans les fondateurs et les bienfaiteurs de la Tora, «…»
• LaMitsva de laTsedaka  est la reparation complete du business, c'est-à-dire , que meme si il fait son business avec Emouna comme il le faut, il est oblige de retirer la tsedaka de ces bénéfices, comme il est écrit  dans le Choulh’an Arouh’, et dans chaque effort qu’il entreprend dans son business, il faut qu’il dise ou pense dans son cœur , je fait ce business afin de pouvoir donner la tsedaka,et cela est la principal reparation du business dans la saintete.[Likoute Etsoth mamon ouparnassa 17]