La guerre où personne n’est à l’abri

Que Dieu bénisse le peuple d’Israël

Quelques jours après cette horrible tragédie, 130 % des personnes appelées au combat se sont présentées.

Les gens à qui on n’avait pas demandé d’aller à l’encontre des champs de mines de Gaza ont refusé les ordres et y sont quand même allés.

Les Israéliens font la queue pendant 10 heures pour donner du sang à leurs frères.

Le soutien apporté aux victimes des attentats, aux soldats servant sur la ligne de front et aux réfugiés israéliens évacués de leurs foyers situés aux frontières nord et sud est incroyable.

Tout le monde a abandonné sa position politique pour le bien de la nation. Des dirigeants de gauche ont rejoint le gouvernement de droite. D’anciens ministres des Finances de droite comme de gauche conseillent à Betzalel Smotrich de guider notre économie à travers cette guerre sans précédent.

Il y a tellement de charité. Il y a tellement d’unité. Il y a tellement de bonté.

Pour le mérite de l’unité juive, qu’Hachem nous accorde la victoire.

Même histoire et même tactique

Nos premiers pas ont été puissants.

Nous avons commencé à bombarder Gaza sans crainte.

Nous avons établi un siège pour les forcer à libérer nos frères et sœurs pris en otage.

Nous avons rassemblé des centaines de milliers de soldats dans le sud et le nord pour éradiquer nos adversaires nazis.

Quelques instants avant que nous soyons sur le point de donner le feu vert à nos troupes pour entrer à Gaza, Joe Biden a annoncé, sans coordination avec nous, qu’il venait en Israël.

Son équipe a passé sept heures dans notre salle de crise de Tsahal à dicter les termes de ce que nous étions « autorisés » à faire.

Soudain, le siège de Gaza est levé et le Hamas mange à nouveau du chocolat suisse de la Croix-Rouge.

Même lorsque nous voulons faire preuve d’audace, les Américains mettent nos dirigeants en laisse et menottent nos militaires. Nous sommes « empêchés » de faire tout ce que nous n’avons pas fait auparavant.

La seule partie qui fait quelque chose de nouveau est le Hamas.

Tant que nous laissons nos maîtres américains nous forcer à régurgiter le prévisible, les nazis de Gaza auront tous les avantages. Ils savent ce qui va suivre. Ils sont prêts. 

L’ancien est le nouveau

La seule façon de gagner est de faire quelque chose que nous n’avons jamais fait auparavant.

En tant que nation, nous n’avons jamais prié auparavant.

Nous n’avons jamais fait de techouva universelle (repentir) auparavant.

Nous ne nous étions jamais réunis pour accomplir des mitsvot auparavant.

La seule fois où nous l’avons fait, c’était la première semaine de juin 1967. Et à ce moment-là, nous avons vu la bénédiction qu’Hachem nous a donnée pour notre unité, notre humilité et notre repentir.

Nous continuons de faire confiance à nos militaires et savons qu’ils accompliront le travail que leur confie la nation. Mais il reste encore beaucoup à faire et chacun de nous doit le faire.

Nous dépendons de nos dirigeants pour accomplir l’œuvre de Dieu. Nous devons demander à notre Père, Créateur du Ciel et de la Terre, de nous accorder la rédemption, la protection et le salut dont nous avons besoin.

C’est le travail de chaque Juif de se tourner vers notre Père pour nous protéger des nazis.

La façon de gagner est de crier à notre Père dans la prière.

En plus de la charité, du bénévolat et de l’activisme sur les réseaux sociaux, notre devoir juré est de réciter quotidiennement des Psaumes pour nos frères et sœurs, le peuple d’Israël.

Tout Psaume est puissant. Nos Sages recommandent les Psaumes 20, 22, 69, 83, 121, 122 et 124.

Prenez une mitsva et faites-la avec un peu plus d’intensité. Augmentez les heures d’étude de la Torah.

Dites à Dieu que vous l’aimez.

Dieu a les yeux sur Israël du premier au dernier jour de l’année. Il est infiniment plus fort que le Département d’État américain. Il est immensément plus grand que l’Europe.

Et Il peut écraser les nazis de Gaza comme des fourmis.

Il faut lui demander. Tous les jours.

C’est une bataille dont personne n’est à l’abri.